La tête lourde et douloureuse, je me levais tant bien que mal ce matin. Depuis un moment je n'avais rien à faire. Je réfléchissais à ce que j'allais pouvoir entreprendre dans la journée et qui comblerait le vide depuis que j'ai arrêté de m'aventurer dans le monde d'Azeroth.
Je me revêtis d'une veste légère en soie et d'un pantalon et me dirigeais vers la porte d'entrée. Je mis mes chausses et sortis dans la rue. Tout sembler calme. Encore une matinée paisible sur Hurlevent, enfin, c'est ce que je croyais. Une troupe de soldat traversa ma rue d'un pas sec et rapide. Je me demandais bien ce qu'il se passait. Je me dirigeais jusqu'au SI:7 où tout un bataillon de fantassin était réuni sous la joue d'un Général.
" Garde à vous !"
Un homme sortit du SI:7, c'était le généralissime Bolvar.
"Soldat de Hurlevent ! Nous avons appris le raid du Général Kruul sur Forgefer ! Les soldats ont réussi à repousser la première vague d'assaut mais ils ont besoin d'aide !"
Des exclamations s'élevèrent dans toute la troupe. Certains était surpris, d'autres abrutis par la nouvelle et d'autre la redoutait.
"En avant Forgefer !"
Puis la troupe de soldat se dirigea vers le tram des profondeurs. A ce moment, le généralissime me vit et s'approcha de moi.
" Bonjour soldat.
- Que ce passe t'il ?
- Le général Kruul livre des batailles sur tout Azeroth et nous devons repousser l'envahisseur.
- Mais d'où vient il ?!
- La porte des ténèbres c'est ré-ouverte. Nous avons reçu un messager qui l'a traverser et nous a expliquer que des membres de l'Alliance s'y trouvait encore à sauver leur vie.
- Oh non.
- J'ai cru comprendre que vous avez pris votre retraite. Après vos exploits à travers d'Azeroth, nous avons besoin de tout les héros encore valide.
- Oui, j'en ai le pré sentiment.
- Rompez soldat !"
Un dernier salut militaire et le généralissime Bolvar couru en direction du quartier des nains. Quant à moi, je courus chez moi. J'ouvris la porte avec une telle violence quel claqua sur le mur et se fractura. Cette porte fracturée m'offrirait un occupement plus tard, enfin si je rentre. J'enfilais mon armure délaissée dans un coffre et pris ma hache. Je sortis de chez moi et réfléchis à ce que j'allais faire. En tout cas, ce que je savais pour l'instant, c'est que mon aventure ne faisait que de commencer.